Texte de la dictée
Le ciel s’assombrit, le vent se leva, et les premiers éclairs zébrèrent les nuages. La pluie tomba soudain, forte et drue, frappant les vitres et les toits.
Au loin, le tonnerre roulait longuement, faisant vibrer les murs comme
Le ciel s’assombrit, le vent se leva, et les premiers éclairs zébrèrent les nuages. La pluie tomba soudain, forte et drue, frappant les vitres et les toits.
Au loin, le tonnerre roulait longuement, faisant vibrer les murs comme
Les élèves se tenaient en coulisse, le cœur battant.
Le rideau se leva, et les projecteurs inondèrent la scène de lumière. Les premières répliques résonnèrent dans la salle attentive. Un
Les tentes s’alignaient sous les arbres. Les lampes s’éteignirent une à une, laissant place aux bruits de la nuit : un hibou, un ruisseau, le vent dans les feuilles.
Peu à peu, les conversations s’éteignirent
Sur la plage, le sable brûlait sous les pieds nus. Les enfants creusaient des trous et construisaient des châteaux. Les vagues roulaient doucement, éclaboussant les rochers. Un goéland tournoyait dans le ciel en poussant un cri aigu.
Ce matin-là, la maison bourdonnait d’activité. Chacun rangeait, balayait, lavait dans une agitation joyeuse. À midi, tout brillait, et l’odeur du savon flottait dans l’air. Les rideaux dansaient doucement au vent des fen&ec
Les murs de pierre gardaient le souvenir des siècles passés. Dans la grande salle, la lumière traversait les vitraux colorés. On aurait cru entendre les pas des anciens seigneurs. Un courant d’air fit frémir les lourdes t
Le silence régnait dans la classe.
Les élèves penchés sur leurs copies griffonnaient des chiffres en fronçant les sourcils. Le professeur marchait entre les rangs, surveillant les moindres gestes. L’aiguille de l&r
Chaque matin, le chien du voisin aboyait dès le lever du jour. Sa voix résonnait dans toute la rue, réveillant les maisons endormies. Les habitants râlaient, mais personne n’osait rien dire. Seul le facteur osait le saluer en ria
En rentrant de l’école, les enfants durent courir sous une pluie soudaine. Le vent rabattait les gouttes sur leurs visages, et leurs manteaux se collaient à leurs bras.
Arrivés devant la maison, ils riaient, trempés, comm
La nuit tombait, et le feu éclairait les visages rieurs des campeurs. Les flammes dansaient dans l’air tiède, projetant des ombres sur les tentes. Quelqu’un sortit une guitare, et la chanson s’éleva, douce et joyeuse, sous